Par Yvelande Hilaire
Lors de la Conférence de presse du lancement de la Coupe du monde féminine Australie et Nouvelle-Zélande 🇳🇿 ce mercredi, le président de la FIFA, Gianni Infantino a fait savoir que les fédérations membres distribueront les primes promis à chaque joueuse qui va participer au mondial.
La 9e édition de la Coupe du monde féminine débute dans exactement un jour du 20 juillet au 20 août 2023 en Australie et Nouvelle-Zélande. Dans ce cas, le président de l’instance mère du football dans le monde, M. Gianni Infantino a lancé la compétition dans une conférence de presse ce mercredi. En fait, en ce qui à trait à l’argent promis aux joueuses, ce dernier a déclaré qu’il n’y a aucun mécanisme pour payer directement l’argent aux joueuses car, Les paiements sont effectués aux fédérations nationales, qui sont censées de payer les joueurs. Il pense sincèrement au salaire annuel moyen des joueuses professionnelles dans le monde qui est de 14 000 dollars.
“Nous avons émis ces recommandations, mais nous avons une association d’associations. Donc, quels que soient les paiements que nous effectuons, nous passerons par les associations, puis les associations effectueront, bien sûr, les paiements correspondants à leurs propres joueurs. Nous sommes en contact avec toutes les associations,” dit Infantino.
La FIFA doit verser ainsi la moitié des revenus de la compétition, soit 110 millions de dollars aux joueuses des 32 équipes. Cette cagnotte est trois fois supérieure aux 30 millions de dollars versés lors du mondial 2019. Alors que le syndicat des footballeurs professionnels réclamait des conditions et des primes plus équitables pour les 25 équipes participantes au mondial.
Notons que, la FIFA a confirmé que les 732 joueuses sélectionnées pour la Coupe du monde seraient payées au moins 30 000 $ chacun, et le salaire augmentera à chaque phase jusqu’à la grande finale où chaque joueuse de l’équipe vainqueure empochera 270 000 $.