Par Roseline Gilot
Pas d’activités depuis l’arrêt du championnat national en mois de mai dernier. Les footballeurs haïtiens sont maintenant éparpillés dans la nature et on ne sait pas ce qu’ils font pour survivre.
A priori, les besoins personnels et familiaux de la majorité de ces sportifs reposent sur leurs talents. Au fait, depuis l’arrêt du championnat national de première division haïtienne au mois de mai 2021 en raison de la Covid-19, la commission d’organisation du championnat national (COCHAFOP) n’a communiqué aucune date pour la reprise.
En effet, les joueurs de leurs côtés ne font qu’attendre comme des passagers qui attendent un train. Les vulnérables sommes qui sont considérées comme revenus de ces footballeurs, qui ne peuvent pas combler leurs besoins font l’hypothèse, les dirigeants qui ne respectent pas leurs engagements, ceux qui n’ont aucune nouvelle des joueurs locaux jusqu’à date font l’actualité. Comme à l’accoutumée, il y a des footballeurs dans cette élite qui se plaignent de leurs dirigeants qui n’ont pas jeté leurs dévolus sur eux, jugés anormal.
En fin de compte, ils sont dans la nature sans aucune attention soutenue de leurs dirigeants respectifs. En ce moment, on parle du championnat de vacances, où la plupart de ces joueurs aiment disputer, de quoi alléger leurs besoins nécessaires, alors qu’on dit que le championnat est considéré professionnelle de même pour les joueurs. Une situation défavorable pour l’avenir de ce championnat et de ses pionniers.